Sous le feu de la guerre, l’art contemporain se bat en Afghanistan

Confrontés à des villes terriblement dangereuses ou à l’exil, les jeunes artistes afghans dénoncent le crime, l’injustice et la barbarie à travers des œuvres résolument modernes. Une exposition leur est consacrée au Mucem de Marseille.

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La « kharmohra », littéralement la « pierre de l’âne », qui donne son nom à une exposition au Mucem de Marseille, est souvent d’un beige limpide et de forme oblongue. On peut encore la trouver, mais difficilement, chez de rares marchands de rue autour de la mosquée Shah-e Do Shamshira, dans le centre de Kaboul.

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