New York (États-Unis), de notre correspondant.- Évidemment, il a tout cassé. À peine envolé du G7 canadien de Charlevoix, d'un seul tweet lancé depuis Air Force One, Donald Trump a réduit à néant le communiqué final patiemment négocié en prenant pour prétexte une phrase jugée « malhonnête » du premier ministre canadien, Justin Trudeau. Il fallait qu’il ait le dernier mot, contre les usages diplomatiques, contre les autres grandes puissances.
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