À Budapest pour quelques heures le 12 septembre, le pape François a tenté, par la seule force du verbe, de « désorbániser » l’Europe en délégitimant le premier ministre hongrois Viktor Orbán. L’exercice s’est avéré aussi salutaire que délicat.
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LaLa parole du pape porte. Notamment sur les migrants. Les catholiques y voient le seul flambeau qui vaille en nos temps enténébrés. Les anticléricaux ricanent face à une telle position morale, néanmoins bienvenue, en citant le proverbe médiéval : « L’homme qui se noie s’accroche à un serpent. » Les autres considèrent François comme une boussole plausible sur cette planète déboussolée.
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