International

La Côte d'Ivoire sous le couperet de la justice internationale

Le parti gouvernemental devrait emporter largement les élections législatives en Côte d'Ivoire. Mais plusieurs membres du camp du président Ouattara pourraient être accusés de crimes contre l'humanité.

Ellen Salvi

Dix jours avant les élections législatives qui se sont tenues le dimanche 11 décembre en Côte d'Ivoire, l'ex-président Laurent Gbagbo était transféré à La Haye (Pays-Bas). C'est là, devant la Cour pénale internationale (CPI), qu'il a comparu pour la première fois, le lundi 5 décembre, face aux juges qui le soupçonnent d'être le «coauteur indirect» de crimes contre l'humanité, commis durant la crise post-électorale de décembre 2010 à avril 2011, qui a fait au moins 3.000 morts (voir l'audience de comparution initiale ci-dessous).

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