L’historien Étienne Peyrat remet en perspective le conflit qui oppose l’Arménie et l’Azerbaïdjan pour le contrôle du Haut-Karabakh. Après quarante-cinq jours de guerre, un nouveau rapport de forces a été entériné, ainsi que le rôle prépondérant de la Russie et de la Turquie auprès des belligérants.
Après quarante-cinq jours de guerre, un accord de cessez-le-feu a été conclu entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Depuis la dislocation de l’Union soviétique, les deux pays du Caucase Sud se disputent l’enclave du Haut-Karabakh. Majoritairement peuplée d’Arméniens, cette ancienne région autonome est située à l’intérieur des frontières internationalement reconnues de l’Azerbaïdjan. Le conflit avait été « gelé » pendant un quart de siècle, avant de connaître une nouvelle escalade militaire ces dernières semaines, lors de laquelle des crimes de guerre pourraient avoir été commis par les belligérants.
Et si la gauche devenait la première force d’opposition au Palais-Bourbon en juin prochain ? Un scénario plausible qui pourrait, dans une certaine mesure, transformer le paysage politique, explique Olivier Rozenberg, spécialiste de la vie parlementaire.
Alors que le spectre d’un conflit long se précise, faut-il continuer, et jusqu’à quand, à livrer des armes à Kyiv ? Est-il encore possible de ménager une « porte de sortie » à Vladimir Poutine pour faciliter de futures négociations de paix ? Aux États-Unis comme en Europe, des dissensions commencent à affleurer sur ces sujets clés.
Les enfants représentent, avec les femmes, la majeure partie des déplacés internes et des réfugiés ukrainiens. Dans l’ouest de l’Ukraine, des orphelins de la guerre et des enfants placés tentent de se reconstruire une vie, loin de leur maison et de leurs habitudes.
Contrairement à 2017, où la plupart des candidats macronistes avaient accolé la photo du président de la République à côté de la leur, nombre d’entre eux ont décidé cette année de mener campagne sur leur propre nom. Face à la gauche et à l’extrême droite, certains veulent éviter d’agiter « le chiffon rouge ».
par
Ellen Salvi
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