À la mi-mars, quelqu’un m’a demandé si le Covid-19 allait susciter une vague de syndicalisation. Ma première réaction a été négative. Comment les travailleurs pourraient-ils se syndiquer, alors qu’il y a toute cette distanciation physique et que les gens ne peuvent même pas se réunir en groupe ? De plus, je pensais que les travailleurs seraient tellement effrayés par les horreurs de la pandémie qu’ils ne penseraient pas à se syndiquer.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous