Au Mexique, les disparitions forcées mobilisent les vivantes
Elles sont trois militantes mexicaines, aux parcours différents mais qui luttent pour la même cause : retrouver leurs proches disparus – fils, frère et mère – dans un des pays les plus violents au monde. Rencontre.
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Au début des années 1980, Rubén Blades chante « Desapariciones » (« Disparitions »). Un vent de liberté souffle du nord au sud de l’Amérique latine. La région se démocratise après des décennies de dictatures. Mais le Panaméen, figure populaire de la salsa, rappelle en musique le lourd tribut imposé par les gouvernements autoritaires, de l’Argentine au Mexique : des dizaines de milliers de disparitions forcées d’opposants politiques. Une blessure qui ne se referme pas, des larmes qui ne cessent de couler et des familles qui réclament justice.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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