Après l’avoir longtemps niée, Téhéran s’alarme de l’ampleur de l’épidémie. Les forces armées dirigent à présent « la guerre » contre le virus. Pourtant, pas question de quarantaine mais une dénonciation du « terrorisme médical » de Washington qui se refuse à alléger les sanctions.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
LesLes autorités, les mêmes qui prétendaient encore, fin février, venir à bout en quelques jours de l’épidémie, crient aujourd’hui à la catastrophe. Une personne meurt en Iran toutes les dix minutes et chaque heure voit une cinquantaine de personnes supplémentaires contaminées, selon les chiffres du ministère de la santé. Samedi, le bilan officiel faisait état de la mort de 1 556 personnes mais, selon un expert de l’OMS, il serait cinq fois plus élevé. À la même date, quelque 20 610 personnes avaient contracté cette pneumonie virale.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.