La condamnation du maire d’Istanbul signe le durcissement d’Erdoğan

À l’approche de l’élection présidentielle du printemps, le pouvoir turc semble vouloir mettre hors jeu un candidat potentiellement dangereux pour le président sortant. Lequel ne craint pas d’aggraver la polarisation du pays, ni d’élever le niveau de tension et de répression.

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Istanbul (Turquie).– Survenue lundi 14 décembre, la condamnation du maire d’Istanbul, l’opposant kémaliste Ekrem İmamoğlu, à deux ans et sept mois de prison et une interdiction de la vie politique, a pris de court l’opposition. Elle sonne comme le coup d’envoi de l’élection présidentielle qui devrait se tenir au printemps (au plus tôt en avril et au plus tard en juin).

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