New York, correspondance. La guerre contre l’État islamique (ou Daech) s’intensifie. Dans la nuit de lundi à mardi, les États-Unis ont déclenché une première série de frappes contre les positions de l’organisation djihadiste en Syrie, sans l'aval du gouvernement syrien de Bachar al-Assad ni du conseil de sécurité de l'ONU. Les États-Unis ont été aidés par cinq pays arabes « partenaires », comme l’a expliqué Barack Obama lors son allocution télévisée, mardi, citant Bahrein, la Jordanie, le Qatar, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes. Il a justifié ces frappes en expliquant que les États-Unis ne voulaient laisser aucun « sanctuaire » aux djihadistes.
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