Istanbul (Turquie), de notre correspondant.– Yahya Abdulrahman avait devant lui une carrière toute tracée. Fils de bonne famille, avec un père officier supérieur dans la police syrienne, l’étudiant venait d’achever sa troisième année de médecine à Alep et pouvait envisager sereinement son avenir à l’hôpital ou dans son propre cabinet.
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