C’est déjà ce qu’un expert du Caucase appelle « une petite guerre » et non plus une succession d’escarmouches entre l’armée de l’Azerbaïdjan et celle de l’Arménie, comme il s’en produit très régulièrement depuis la dernière grande escalade militaire en date, dite « la guerre des quatre jours », en avril 2016. De la demi-douzaine de conflits territoriaux qui sont nés de l’éclatement de l’URSS, celui du Nagorno-Karabagh, plus connu sous le nom de Haut-Karabagh, est en effet celui qui a le plus fort potentiel explosif.
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