Politique Entretien

À Paris, le désarroi de la jeunesse calédonienne

À 17 000 kilomètres de chez eux, les Calédoniens venus étudier en métropole ont vu leur archipel basculer dans un chaos qui a causé un huitième mort vendredi. Cette génération née après l’accord de Nouméa s’interroge sur les voies d’un « destin commun ».

Lucie Delaporte

Venus en métropole pour étudier, ils ont assisté impuissants à l’embrasement de leur pays lors de l’adoption du projet de loi sur le dégel du corps électoral. Kanak, Caldoches, Wallisiens, indépendantistes ou loyalistes, ces jeunes originaires de Nouvelle-Calédonie naviguent depuis des semaines entre deux fuseaux horaires, inquiets pour leurs proches et pour l’avenir de l’archipel.

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