Fête du 14 Juillet : le blanchiment d’agents sales
La fête nationale était à l’origine conçue par et pour le peuple. Ce symbole démocratique est devenu l’apanage d’un président prépotent, qui invite de funestes fripouilles à venir se refaire une beauté politique au pays des droits de l’homme et du citoyen.
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ÇaÇa ressemble aux titres de films à sketchs italiens : Les Monstres et Les Nouveaux Monstres. Le 14 Juillet s’avère en effet, désormais, prétexte à convier quelques sagouins choisis parmi les chefs d’État de la planète. Celle-ci, certes, ne compte pas uniquement des saints au sommet : raison de plus pour que la fête demeure nationale ! Non pas du fait d’un quelconque renfermement xénophobe. Plutôt en vertu d’une aversion contre les glissements progressifs du plaisir antidémocratique.