Dix ans après la mort de Dominique Venner, l’extrême droite européenne commémore son « samouraï »
Le 21 mai 2013, l’essayiste se suicide par arme à feu dans Notre-Dame de Paris. Une confusion médiatique s’installe alors : un quasi octogénaire réactionnaire se serait donné la mort dans un lieu catholique pour protester contre le « mariage pour tous ». Une décennie après, c’est toute l’extrême droite radicale, dans sa diversité, qui rend hommage à sa vie et à son œuvre.
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CeCe dimanche 21 mai verra des identitaires gravir la montagne Sainte-Victoire en Provence pour aller y lire des pages de Dominique Venner. En plein cœur de Madrid, leurs homologues espagnols tiendront une journée sur le thème « Dominique Venner : le retour du héros ». À Rome, ce sont les néofascistes du Blocco Studentesco qui se recueillent.