Financement de la vie politique

Supprimer les partis de poche? Pour l'UMP, il est urgent d'attendre

Dans l'indifférence générale, le PS a tenté, à l'Assemblée nationale, de s'en prendre au système des «partis de poche» ou micro-partis. Gênée, l'UMP a renvoyé la réflexion à la fin de l'année. Visiblement, les arguments ne sont pas calés: même le trésorier s'emmêle les pinceaux.

Mathilde Mathieu

L'Assemblée nationale vient d'instruire, dans l'indifférence générale, le procès des «partis de poche», ces drôles de structures détectées à la faveur de l'affaire Bettencourt et des chèques adressés par la milliardaire aux micro-formations d'Eric Woerth (dans l'Oise), de Nicolas Sarkozy (à Neuilly-sur-Seine) ou de Valérie Pécresse (dans les Yvelines).

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