Élysée et gouvernement Parti pris

Diabolisation des gauches et déni des violences d’extrême droite : la rengaine perverse du pouvoir

La rhétorique sur les « extrêmes qui se rejoignent » a désormais laissé place à pire : une inconséquente diabolisation de l’ensemble de la gauche, fondée sur une relativisation des violences en provenance de l’extrême droite. Celle-ci est sciemment respectabilisée.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Face à un pouvoir prêt à toutes les outrances verbales pour se maintenir droit dans ses bottes, il pourrait être tentant de cesser de relever chaque faute, absurdité, schématisation ou mensonge sorti de la bouche de ses représentant·es ces derniers jours.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal