Dans un livre percutant, Maxime Quijoux et Karel Yon, qui ont travaillé trois mois en rayon, démontrent comment « l’origine sociale joue un rôle clé dans l’évolution des carrières » dans la célèbre enseigne d’articles de sport. Et ce, malgré un discours célébrant la diversité et la liberté des salariés.
Dissolution, présidentielle anticipée... La crise politique s’enflamme mardi jusque dans le camp présidentiel, et Emmanuel Macron, qui a demandé à Sébastien Lecornu de poursuivre « d’ultimes négociations » pour tenter de composer une coalition, se trouve plus isolé que jamais.
L’avocate médiatique, connue pour sa défense de personnalités accusées de violences sexistes et sexuelles et pour ses critiques du mouvement #MeToo, est notamment soupçonnée d’avoir aidé le comédien Philippe Caubère à faire disparaître des preuves alors qu’il était accusé de viol, en 2018.
Dissolution ? Démission ? Après le fiasco Lecornu, le président est en première ligne. En cas d’élections anticipées, les anciennes forces du NFP sont-elles prêtes à faire front contre l’extrême droite ? Débat avec Olivier Besancenot, Lumir Lapray, Achraf Manar, Nicolas Framont et Eugénie Mérieau.
Le patron de LR a assuré qu’une alternative à la dissolution est possible, en reprenant les obsessions de l’extrême droite. Le RN continue quant à lui de réclamer la démission du président de la République. Et assure qu’il censurera tout nouveau gouvernement.
Pour la cour d’appel de Paris, la décision de la chaîne de fermer son centre de Saint-Denis, en 2018, était bien discriminatoire : les salariés y étaient plus âgés, votaient davantage pour la CGT et étaient plus souvent « d’origine extra-européenne » que dans le reste de l’entreprise.
Quelques heures après la démission du gouvernement, le président de la République a accordé à Sébastien Lecornu deux jours supplémentaires pour mener d’« ultimes négociations » avec la droite et offrir un nouveau sursis à l’exécutif. Déjà, la dissolution de l’Assemblée nationale est dans tous les esprits.
Renouant avec le pluralisme, la Syrie a connu dimanche ses premières élections libres depuis la chute de la dictature des al-Assad. Il ne s’agit que d’un scrutin indirect, et le président al-Charaa doit encore nommer un tiers des députés.
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi à Tbilissi mais ne sont pas parvenues à occuper le palais présidentiel. Tandis que les arrestations se multiplient, plusieurs États de l’Union européenne, dont la France, ont pris le parti de dialoguer avec le pouvoir.
Quatorze heures après l’annonce de la composition de son gouvernement, immédiatement critiqué et menacé d’implosion, le premier ministre Sébastien Lecornu a présenté lundi matin sa démission à Emmanuel Macron, qui l’a acceptée.