Le chef de la diplomatie états-unienne a manifesté son impatience, vendredi 17 avril à Paris, après avoir participé la veille à une journée de négociations sous l’égide de la France. Un accord sur les minerais ukrainiens, convoités par Donald Trump, pourrait être signé la semaine prochaine.
Le chef de l’État a annoncé jeudi la mise en place d’une commission d’historiens au sujet de la dette imposée par la France à Haïti peu après son indépendance. Mais le flou de sa déclaration et l’absence de tout calendrier contraignant ont déçu des universitaires et associations.
Le 13 juin 2023, à Besançon, un trentenaire a été grièvement blessé par balle en ouvrant sa porte, alors que les policiers s’apprêtaient à perquisitionner son domicile. Le tireur vient d’être mis en examen pour « violences aggravées ».
Jugé pour injures publiques et provocation à la discrimination à la suite de déclarations faites pendant les législatives de 2024, le parlementaire a récidivé, s’enfonçant dans des explications confuses et maintenant que les Français binationaux « n’appartiennent pas à la France ».
Victime d’un piratage au cœur de ses institutions publiques, le gouvernement fait valoir ses « victoires » sur le dossier du Sahara occidental pour justifier la fuite des données personnelles de deux millions de Marocains. Parmi lesquels un personnage central de la cour royale.
Cet exilé mauritanien travaille dans trois fermes et permet de nourrir de nombreux habitants, participant au « dynamisme » de tout un territoire. Mais depuis le 3 avril, il est assigné à résidence et menacé d’expulsion. Ses soutiens invitent les autorités à le régulariser.
À la suite de l’article intitulé « Un rapport révèle les graves dérives du lycée privé de l’Immaculée-Conception à Pau », publié le 30 mars 2025, Christian Espeso nous a adressé un droit de réponse.
Le numéro un chinois a profité de sa tournée au Vietnam, en Malaisie et au Cambodge pour vanter son pays comme pôle de stabilité face aux incertitudes économiques provoquées par son homologue états-unien. Si Donald Trump n’a jamais été nommé, il était dans tous les esprits.
Deux ans après son lancement en grande pompe, l’école théorique du Rassemblement national demeure une coquille vide. Depuis vingt-cinq ans, le parti d’extrême droite a délaissé, par paresse ou désintérêt, la formation intellectuelle de ses cadres, tout en jurant en faire une priorité.
Une association étudiante a convié Miklós Szánthó, fervent soutien du premier ministre hongrois, à promouvoir les « politiques conservatrices » de son pays devant les élèves de Sciences Po. Un choix assumé par la direction de l’école. L’intéressé a finalement annulé sa venue pour raisons de santé.