Afrique(s)

Colonne Voulet-Chanoine : un héritage à solder entre le Niger et la France

Au Niger, des communautés victimes de la furie de l’armée française en 1899 demandent à la France, dans le cadre des instances onusiennes, de reconnaître ses crimes coloniaux et de les réparer. C’est hors de question pour Paris, dans un contexte de rupture diplomatique avec Niamey.

Rémi Carayol

Ouvrir ses archives et reconnaître une partie de ses crimes coloniaux, comme en Algérie, au Cameroun et au Sénégal ces dernières années (et peut-être bientôt à Madagascar), la France d’Emmanuel Macron en est capable dans une certaine mesure. Mais pas en toutes circonstances. Et surtout, pas avec n’importe quel interlocuteur.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter