Le Sénat américain a confirmé mercredi le général Charles Brown au poste de chef d’état-major des armées, l’une des centaines de nominations bloquées par un sénateur républicain opposé à l’avortement.
La Cour suprême du Brésil a suspendu mercredi les débats dans un procès portant sur le droit à la terre des peuples indigènes, après le vote de sept des onze juges, dont cinq votes favorables aux revendications des autochtones.
Un nouveau bilan dans un grave incident en mer impliquant un sous-marin de l’armée sud-africaine, en exercice près de la ville du Cap, a fait état mercredi soir de trois morts parmi les militaires, selon les secours et l’armée.
La Banque centrale du Brésil a abaissé son taux directeur à 12,75% mercredi, une deuxième baisse consécutive de 0,5 point conforme aux prévisions des analystes, poursuivant un mouvement de réduction réclamé par le président Lula.
Le Premier ministre polonais a déclaré mercredi que son pays ne fournissait plus d’armement à Kiev car il se concentrait sur son propre armement, dans une déclaration faite quelques heures après que Varsovie a convoqué « d’urgence » l’ambassadeur ukrainien pour protester contre les propos du président Volodymyr Zelensky à l’ONU.
Le fils du président américain Joe Biden, Hunter, est cité à comparaître en personne le 26 septembre dans le Delaware (est) pour sa mise en accusation publique pour détention illégale d’arme, selon une décision rendue mercredi.
La Russie doit écouter les appels de « la quasi totalité des Etats » à mettre fin à la guerre en Ukraine, a estimé mercredi la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, dans un entretien avec l’AFP.
Le président nigérien déchu Mohamed Bazoum a saisi la justice ouest-africaine pour obtenir sa libération et le rétablissement de l’ordre constitutionnel dans le pays, après un coup d’Etat qui l’a renversé le 26 juillet, a annoncé mercredi à l’AFP son avocat sénégalais, Seydou Diagne.
L’Arabie saoudite et Israël se « rapprochent » d’un accord de normalisation de leurs relations, qui serait historique, a déclaré mercredi le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans une interview à une télévision américaine.
Une journaliste française, Ariane Lavrilleux, à l’origine de révélations fin 2021 sur un possible détournement égyptien d’une opération de renseignement française dans le pays, a été remise en liberté mercredi soir après 48 heures de garde à vue, une mesure coercitive rarissime qui a indigné la profession.