Le président américain Donald Trump a intensifié lundi la pression sur l’Etat de l’Illinois et la ville de Chicago en évoquant un possible recours à l’état d’urgence pour surmonter l’opposition des autorités locales et des décisions de justice contre le déploiement de la Garde nationale.
Seuls 4% trouvent leur profession valorisée et ils sont moins satisfaits que leurs collègues d’autres pays: la situation des enseignants français est « préoccupante » pour l’OCDE, qui publie mardi sa dernière étude internationale Talis sur l’enseignement et l’apprentissage.
Donald Trump a dit lundi qu’il pourrait instaurer un état d’urgence pour envoyer l’armée dans des villes américaines, après avoir déployé des troupes à Chicago (nord) et Portland (nord-ouest) contre l’avis des élus locaux ou contre des décisions de justice.
Le président ultralibéral argentin Javier Milei lançait lundi soir son nouveau livre, vantant son « miracle » économique, lors d’un meeting à trois semaines de législatives délicates, et avec une police déployée en masse pour éviter un face-à-face entre opposants et sympathisants.
La garde à vue d’un homme suspecté d’avoir tenté de tuer son ex-conjointe, dont le pronostic vital était toujours engagé lundi en fin d’après-midi, a été prolongée, a indiqué lundi soir le parquet d’Evry à l’AFP.
Donald Trump a assuré lundi que le Hamas « avait accepté certaines choses très importantes » alors que des négociations indirectes pour mettre fin à deux ans de guerre à Gaza se tiennent en Egypte.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré lundi qu’il souhaitait la levée par l’Union européenne de l’interdiction prévue en 2035 de la vente des véhicules thermiques, en raison des difficultés actuelle de l’industrie automobile.
Un tribunal de Rabat a confirmé lundi en appel une peine de deux ans et demi de prison prononcée en première instance à l’encontre de la militante féministe marocaine Ibtissame Lachgar pour « atteinte à l’islam ».
Emmanuel Macron a donné lundi à Sébastien Lecornu, Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, 48 heures pour des négociations de la dernière chance, laissant planer la menace de dissolution en cas d’échec.
Gabriel Attal, ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron et président du parti présidentiel Renaissance, a déclaré lundi que « comme beaucoup de Français » il « ne comprend plus les décisions » du chef de l’Etat, confirmant la nette prise de distances entre les deux hommes.