Le président turc Recep Tayyip Erdogan a qualifié mardi de « provocation infâme » la publication par une revue satirique d’opposition d’un dessin accusé de représenter le prophète Mahomet.
« La loi ne détournera plus les yeux »: le délit « d’homicide routier » va pouvoir être mis en place après un ultime vote favorable du Sénat mardi, au grand soulagement des victimes qui en ont fait leur combat depuis plusieurs années.
Près de 20.000 migrants ont traversé la Manche depuis le 1er janvier, ce qui représente un record sur la première moitié de l’année, selon des chiffres publiés mardi par le gouvernement britannique.
Un tribunal moscovite a condamné mardi à 13 ans de prison Timour Ivanov, un ancien vice-ministre russe de la Défense, pour détournement et blanchiment d’argent dans une affaire de corruption en plein conflit armé contre l’Ukraine.
Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé mardi céder son site de Maisons-Alfort (Val-de-Marne) au sous-traitant allemand Adragos qui s’est engagé à « garantir le maintien de l’emploi pendant trois ans » pour les 452 collaborateurs du site.
Août 2003, en plein pic de la canicule la plus meurtrière de France, le ministre de la Santé Jean-François Mattei apparaît au journal de 20H00 en polo dans sa maison de vacances du Var. Une image qui avait fait polémique, « traumatisante » pour les politiques qui lui ont succédé.
Nicolas Sarkozy a rencontré mardi matin Jordan Bardella, dans les bureaux parisiens de l’ancien président, a-t-on appris de leurs entourages respectifs, confirmant une information du Parisien.
Plusieurs centaines de manifestants ont de nouveau conspué un magazine satirique turc accusé d’avoir publié une caricature moquant le prophète, mardi à Istanbul, au lendemain de heurts consécutifs aux arrestations visant le journal.
L’affaire était considérée comme le plus vieux « cold case » du Royaume-Uni: un homme de 92 ans a été condamné mardi à un minimum de 20 ans de prison pour le viol et le meurtre d’une femme commis en 1967.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a jugé mardi que la réflexion sur une éventuelle dissuasion nucléaire européenne s’inscrivait dans une perspective si lointaine que la priorité devait porter sur le maintien de l’engagement américain dans la défense du continent.