À Clisson, la surface du festival de metal a été multipliée par dix en moins de vingt ans. Temporaires au départ, les constructions, principalement situées sur des terrains agricoles, deviennent de plus en plus définitives, ce qui contrevient aux règles d’urbanisme ou au Code de l’environnement. Second volet de l’enquête de Mediacités.
Face à une extrême droite aux portes des ministères, les réflexions vont bon train parmi les hauts fonctionnaires formant l’ossature de l’administration. Beaucoup estiment de leur devoir de tenir leur poste. Et en sont réduits à espérer une majorité introuvable au soir du 7 juillet.
L’ex-présidente du RN a vendu pour 2,5 millions d’euros la villa où demeure son père au milliardaire conservateur Pierre-Édouard Stérin et à son bras droit François Durvye. Une opération surprenante, d'autant que l’élue l’avait déclarée « invendable » dans sa déclaration de patrimoine en 2022.
Le député Victor Habert-Dassault va tenter de conserver la circonscription familiale de l’Oise. Lors de sa première élection en 2021, il a défrayé son chauffeur en liquide, sans le déclarer dans son compte de campagne.
En dix-huit ans, le haut lieu des musiques extrêmes est devenu le deuxième plus gros festival en France. Secret de cette réussite : son business model redoutable. Premier volet de l’enquête de notre partenaire Mediacités.
Jean-Luc Schaffhauser, l’eurodéputé qui a négocié le prêt russe au RN, dispose d’une fondation qui a touché des centaines de milliers d’euros en échange d’interventions en faveur de Moscou au Parlement européen, selon des mails dont Mediapart a pu prendre connaissance. Sollicitée, Marine Le Pen ne nous a pas répondu sur le sujet.
Une journaliste du site italien Fanpage s’est infiltrée au sein du mouvement de jeunesse de la première ministre Giorgia Meloni. Son enquête vidéo montre le vrai visage de ces jeunes : derrière une façade respectable, la Gioventù nazionale célèbre le fascisme.
Une enquête de Mediapart et de ses partenaires révèle que les fonds « durables » gérés en France ou contrôlés par les banques françaises ont investi plus de 21 milliards d’euros dans les entreprises parmi les plus émettrices de CO2 au monde, dont 8,8 milliards dans le pétrole.
Une enquête de Mediapart et de ses partenaires révèle que les fonds d’investissement « durables » vendus en Europe ont investi 87 milliards d’euros dans 200 entreprises parmi les plus émettrices de CO2 au monde, en profitant du laxisme de la réglementation européenne.
L’ancien ministre du redressement productif, associé dans plusieurs entreprises avec le milliardaire ultraconservateur Pierre-Édouard Stérin, justifie un souverainisme transpartisan « en passant par Le Pen ».