Mediapart vous propose depuis le début de la semaine une série de reportages au Mali. Après avoir été une destination prioritaire, la France n'attire plus. Redécouvrez les épisodes déjà parus.
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Brice Hortefeux a été condamné, vendredi 4 juin, par le tribunal correctionnel de Paris, pour injure raciale. Il était poursuivi par le MRAP après des propos tenus sur les «Arabes» lors d'une réunion UMP.Mediapart publie l'intégralité du jugement en PDF
Au milieu des années 90, Mokhtar s'est soudainement trouvé sommé d'avoir un avis sur tous les sujets touchant à l'islam. Alors qu'il n'avait rien demandé.
Nabsoita, dont les parents sont comoriens et qui habite La Courneuve (Seine-Saint-Denis), a porté le voile très jeune. Elle ne le regrette pas mais met en garde celles qui s'apprêtent à le mettre.
Monique, après avoir vécu longtemps loin de La Courneuve (Seine-Saint-Denis), dit ne plus supporter le regard des autres musulmans sur son manque de pratique religieuse.
Amr Haggag a été un témoin-clef des négociations menées en 1994 par les balladuriens pour décrocher les contrats d'armement Agosta (avec le Pakistan) et Sawari II (avec l'Arabie saoudite). Son témoignage exclusif conforte la piste des rétrocommissions qui auraient servi à financer la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995.
Dans Le Contrat (Karachi, l'affaire que Sarkozy voudrait oublier), livre à paraître le 19 mai, nos deux collaborateurs Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme révèlent le rôle central joué entre 1993 et 1995 par Nicolas Sarkozy dans un marché d'armement sur lequel pèsent de lourds soupçons de corruption et de financement politique occulte. Par des témoignages et des documents inédits, ils prolongent les enquêtes publiées dans Mediapart.- Nicolas Sarkozy valide le plan de financement du contrat Agosta.- Il supervise, depuis Bercy, la création d'une société offshore au Luxembourg qui a servi à verser des commissions suspectes.- Il serait intervenu, six mois avant la présidentielle de 2007, pour que des affaires de corruption ne soient pas rendues publiques.- L'un des intermédiaires du contrat Agosta, Ziad Takieddine, se vante d'être «l'ami» de Nicolas Sarkozy.- M. Takieddine assure avoir été l'émissaire de la France dans la libération des infirmières bulgares. Ce que confirme Claude Guéant, le secrétaire général de l'Elysée.- L'ancien contrôleur général, Jean-Louis Porchier, fait des révélations sur le financement de la campagne présidentielle de 1995 d'Edouard Balladur.- Charles Pasqua, Charles Millon et Brice Hortefeux parlent.