Ce mardi 10 mars, Bouygues est face au tribunal correctionnel de Cherbourg. Le deuxième groupe français de BTP va devoir justifier l’emploi, en toute illégalité, de plus de 500 ouvriers polonais et roumains sur le chantier de l’EPR de Flamanville. Le préjudice pour l’Urssaf est estimé à près de 8 millions d’euros et autour de 10 millions pour les impôts.
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La totalité des réacteurs nucléaires du Japon est à l’arrêt depuis septembre 2013. Mais le gouvernement de Shinzo Abe veut à tout prix relancer ses centrales, au mépris des nombreux risques et des populations locales qui estiment que les leçons de Fukushima n’ont pas été retenues.
Le groupe nucléaire a annoncé 4,8 milliards d’euros de pertes en 2014. Un plan de restructuration, assorti de milliers de suppression d’emplois, est prévu pour sortir Areva de la faillite. Ce bilan est la chronique d’un naufrage annoncé de longue date. Osera-t-on pour une fois demander des comptes aux vrais responsables de ce désastre ?
Le premier ministre israélien s'est exprimé mardi à Washington devant un public acquis à sa cause. Un geste destiné essentiellement à alimenter sa propre campagne électorale en Israël. La Maison Blanche n'a guère été ébranlée, chaque camp en Israël est resté sur ses positions, et l'Iran n'a pas frémi.
La visite du premier ministre israélien à Washington, entamée hier, provoque des remous auprès des élus américains ainsi qu'à la Maison Blanche. Elle révèle aussi qu'au sein du parti démocrate et de la communauté juive américaine, il n’est plus question d’un soutien inconditionnel au gouvernement israélien.
Les résultats d’une étude de l'Institut Fraunhofer sur les mécanismes d'énergie solaire, publié le 24 février, concluent que le solaire pourrait coûter moins cher que le charbon ou le gaz d’ici 2025.
Alors que les pourparlers sur le programme nucléaire de l'Iran entrent dans une phase décisive, le gouffre qui sépare les positions de Téhéran et de ses interlocuteurs reste impressionnant. Parmi les pressions qui s’exercent sur les délégations iranienne et américaine, il faut compter avec le premier ministre israélien qui entend mobiliser le Congrès contre le « mauvais accord » que cherche à conclure Barack Obama.
À Budapest, l'autocrate Viktor Orbán se pose en Chávez anti-yankee de la Mitteleuropa. Il sert d'agent d'influence à Vladimir Poutine, qui joue au de Gaulle russe ramassant le tronçon du glaive de l'Europe des nations. La réalité s'avère plus régressive. Et antidémocratique au possible…