D’Alain Cavalier, on se souvient sans doute de Pater (ovationné à Cannes en 2011), où le réalisateur et Vincent Lindon jouent un président de la République et son premier ministre. Le jeu de rôle, les mises en abyme et l’humour jamais bien loin, tout ce qui fait le délice de ce cinéma d’auteur se retrouve dans ce documentaire sur le peintre Georges de La Tour (1593-1652). « Allume ! » est le premier mot du film car, chez de La Tour comme au cinéma, tout est question de lumière. Et l’éclairage qu’offre Alain Cavalier est une magistrale leçon de peinture.
Désolé, les droits de diffusion de ce film
sur Mediapart ont expiré
Georges de La Tour, France, 1998, 26 min // Réalisation et scénario : Alain Cavalier // Images : Roni Katzenelson // Son : Olivier Le Vacon // Montage : Olivier Doat // Production : Réunion des musées nationaux, Télérama.
Autres films à voir sur Tënk, dans la plage Arts :
Georges Bataille, à perte de vue, de André S. Labarthe
La visite - Le musée d’art moderne, de Lætitia Carton
Dans la plage Essais :
One in a million, de Paul Guilhaume
Et toujours 9 documentaires autour de la danse à l’occasion de la Biennale de la danse de Lyon.
Tënk est un site de vidéos sur abonnement (6 euros par mois, 60 euros par an) lancé à l’été 2016 et qui propose 10 nouveaux documentaires par semaine, organisés par plages thématiques : écologie, politique, arts, grands entretiens, festivals, coups de cœur, films d’écoles, docs monde… Plus de détails avec l’interview d’un de ses initiateurs, Jean-Marie Barbe.
Déjà diffusés sur Mediapart dans le cadre de ce partenariat :
Ô mon corps, de Laurent Aït Benalla (toujours visible sur Mediapart)
Jasmine, d’Alain Ughetto
Le Rêve de Nikolay, de Maria Karaguiozova
Que reste-t-il, de Ludivine Henry
Onze footballeurs en or, de Jean-Christophe Rosé
Place à la révolution, de Parfait Kaboré
Le Champ des visions, de Boris Van der Avoort
Calabria, de Pierre-François Sauter
Miss Rain, de Charlie Petersmann
La Capture, de Geoffrey Lachassagne
D’amore si vive, de Silvano Agosti
Eugène Gabana, le pétrolier, de Jeanne Delafosse & Camille Plagnet
Don Pauvros de la Manche, de Guy Girard
L’Arbre sans fruit, d’Aïcha Macky
Une fenêtre ouverte, de Khady Sylla
La Pépinière du désert, de Laurent Chevallier
Palazzo delle Aquile, de Stefano Savona, Alessia Porto & Ester Sparatore
Chili, la mémoire obstinée, de Patricio Guzmán
Le Libraire de Belfast, d’Alessandra Celesia
L’Hypothèse du Mokélé-Mbembé, de Marie Voignier
Samir dans la poussière, de Mohamed Ouzine
Anaïs s’en va-t-en guerre, de Marion Gervais
La Vie après la mort d’Henrietta Lacks, de Mathias Théry
Mafrouza, 1re partie, d’Emmanuelle Demoris
Le COD et le coquelicot, de Jeanne Paturle & Cécile Rousset
Movement (R)evolution Africa, de Joan Frosch & Alla Kovgan
Mare Magnum, d’Ester Sparatore & Letizia Gullo
Vers la tendresse, d’Alice Diop
Uzu, de Gaspard Kuentz
Territory, d’Eleanor Mortimer
Les Bureaux de Dieu, de Claire Simon
Voyage autour de ma chambre, d’Olivier Smolders
Les Ramasseurs d’herbes marines, de Maria Murashova
Zuoz, de Daniella Marxer
Pour Ulysse, de Giovanni Cioni
Le Repos des braves, de Guillaume Brac
Jean Painlevé, fantaisie pour biologie marine, de François Lévy-Kuentz
La Visite-Versailles, de Pippo Delbono
La colère est dans le vent, d’Amina Weira
Reprendre l’été, de Magali Bragard & Séverine Enjolras
Le Cri de la tourterelle, de Sani Elhadj Magori
Les Médiatrices, de Sani Elhadj Magori
Coûte que coûte, de Claire Simon
L’Étrange Histoire d’une expérience urbaine, de Julien Donada
Out of the Present, d’Andrei Ujica
Elle pis son char, de Loïc Darses
Un amour d’été, de Jean-François Lesage
Vivre riche, de Joël Akafou
Le Hibou et la baleine, de Patricia Plattner
I’m Gone : a Film about Amy, de Geneviève Philippon & Julie Bourbonnais
Besos frios, de Nicolás Rincón Gille
Hopptornet, d’Axel Danielson & Maximilien Van Aertryck
D’amore si vive, de Silvano Agosti
La Capture, de Geoffrey Lachassagne
Miss Rain, de Charlie Petersmann
Calabria, de Pierre-François Sauter
Le Champ des visions, de Boris Van der Avoort
Place à la révolution, de Parfait Kaboré
Il est des nôtres, de Jean-Christophe Meurisse.