Lecture de « Ceci n’est pas un livre » de Dubravka Ugresic

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Il ne pleut pas sur Nantes, ce qui est déjà bien. En tout cas pour la première édition du Festival littéraire de Nantes, Atlantide, qui se tient depuis hier, et jusqu’à dimanche soir, entre Cité des Congrès et Lieu Unique, soit le long du canal Saint- Félix. Un mélange jusqu’ici réussi sur le thème du mythe, entre grandes figures littéraires – de celles que l’on ne croise pas dans tous les festivals – Ismaïl Kadaré par exemple qui sera présent aujourd’hui pour une rencontre d’une heure – auteurs contemporains divers, de Nicole Caligaris, Martin Page, Javier Cercas, Olivia Rosenthal, Patrick Deville, Gonçalvo M. Tavares, Rachid Boudjedra, Jonathan Wable et bien, bien d’autres, y compris Hwang Chi’u, poète sud coréen majeur fort peu traduit : une ouverture sur le monde due en bonne partie à Alberto Manguel, directeur artistique d’Atlantide, une ouverture aussi sur le visuel (belle expo Topor au Lieu Unique, ce soir les Cinépoèmes de Rodolphe Burger et Pierre Alferi), etc. (Programme ici).