Des collectifs Stop-Linky, plus de 150 selon le site Poal (Plateforme opérationnelle anti-Linky), se sont montés dans toute la France, témoignant de l’inquiétude, pas toujours fondée, d’une partie de la population face au déploiement de ce compteur qui présente peu d'intérêt pour le consommateur. Plusieurs sites, stop linky, Poal, refus.linky.gazpar, ainsi que des associations de lutte contre les ondes électromagnétiques comme Robin des Toits, Priartem, Next-up, Criirem, relaient ce combat. Nous sommes allés rencontrer les anti-Linky dans la région de Salon-de-Provence, Bouches-du-Rhône, département comptant à lui seul huit collectifs.
Ancienne salariée de l’AFPA, l’organisme de formation professionnelle, syndicaliste SUD, Anne Provence, 64 ans, aujourd’hui énergique retraitée, est l’initiatrice du comité Stop-Linky de Salon-de-Provence. « J’ai été adhérente de Greenpeace et du mouvement Colibris, de Pierre Rabhi, ce qui m’anime, c’est l’intérêt général et le bien commun. J’avais un papa résistant dans le maquis du Vercors dont j’étais très fière », dit-elle avec quelques trémolos dans la voix.
L’ancien conseiller d’Emmanuel Macron, condamné pour violences conjugales, renonce finalement à la campagne des législatives. La défense catastrophique du patron de LREM, Stanislas Guerini, a accéléré les choses. Et mis fin à la gêne qui montait au sein du parti présidentiel, où personne ne comprenait cette « décision venue d’en haut ».
La première ministre tout juste nommée a exercé depuis huit ans de nombreuses responsabilités en lien direct avec l’écologie. Mais son bilan est bien maigre : elle a soit exécuté les volontés de l’Élysée, soit directement contribué à des arbitrages problématiques.
La relaxe d’Éric Zemmour pour ses propos sur un prétendu « sauvetage » des juifs français par Pétain a suscité de vives réactions. Les historiens que nous avons interrogés ne sont pas tant choqués par la relaxe - la loi Gayssot ne peut couvrir l'ensemble des allégations mensongères sur la seconde guerre mondiale - que par les motivations de l’arrêt. Explications.
À la suite d’une enquête publiée ce matin par Mediapart et Investigate Europe, Orpea a annoncé avoir limogé son ex-directeur financier Sébastien Mesnard, visé dans notre article. L’action a chuté de 19 % en une journée.
par
Yann Philippin
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