Dans l’enfer des mines de cobalt du Congo-RDC

20 photos

La République démocratique du Congo produit près de 70 % de la demande mondiale en cobalt, un minerai utilisé pour augmenter la capacité de stockage des batteries électriques. Malgré l’explosion de la demande et du prix du précieux métal ces dernières années, sur fond d’accélération de la transition énergétique, le Congo échoue toujours à redistribuer les bénéfices de cette ruée vers l’or des temps modernes.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

  1. Théophile Simon

    Kolwezi, République démocratique du Congo (RDC), 24 août 2022. Vue aérienne d’une mine industrielle au centre de Kolwezi, la « capitale mondiale du cobalt ». Les sous-sols de la région du Katanga, au sud de la RDC, recèleraient 3,4 millions de tonnes du minerai, soit près de la moitié des réserves planétaires, et 70 % de la production mondiale. Depuis une décennie, la Chine a racheté la quasi-totalité des mines de cobalt du pays, et contrôle aujourd’hui la quasi-totalité de la chaîne de valeur de cet « or vert » au cœur de la transition énergétique mondiale. Le dernier modèle de voiture Tesla comporte par exemple près de 5 kilos de cobalt.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié