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A Strasbourg: «Derrière ma télé je ne peux rien faire»

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Place Kléber, autour de la statue du général révolutionnaire, une centaine de personnes sont venues se recueillir spontanément dans le calme et l’émotion de ce samedi 14 novembre. Les passant s’arrêtent, restent quelques temps, puis s’en vont. Propos recueillis par Antoine Magallon, Théau Monnet et Nicolas Serve.

Nicolas Serve

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    © Nicolas Serve

    « Je suis venue spontanément, avec 200 bougies. C’est pour moi un symbole contre les ténèbres. En tant que français, nous sommes les gardiens de la lumière face à ceux qui essayent d’assombrir le monde », philosophe Clarisse Delépine, accompagnée de deux amies. 

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