Journaliste au pôle International, j'ai rejoint Mediapart en novembre 2020, après avoir été pigiste (pour Arrêt sur images, Mediapart et France Culture, notamment). Au sein du pôle International, je traite plus particulièrement l'actualité du continent africain et les questions militaires.
J'ai publié plusieurs livres : Mauvaise troupe. La dérive des jeunes recrues de l'armée française (avec Leïla Minano), Les Arènes, 2019 Lucha. Chroniques d'une révolution sans armes au Congo (avec Annick Kamgang), La Boîte à bulles/Amnesty international, 2018 Impunité zéro. Violences sexuelles en temps de guerre : l'enquête (avec Leïla Minano et Anne-Laure Pineau), Autrement, 2017 "Qu'on nous laisse combattre, et la guerre finira". Avec les combattants du Kivu, La Découverte, 2016.
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Trois personnes ont été tuées mercredi dans les rues d’Harare, capitale du Zimbabwe, où des soldats ont été déployés après qu'une manifestation de partisans de l'opposition a dégénéré en affrontements avec les forces de sécurité.
Les Zimbabwéens votent, lundi 30 juillet, pour élire leur nouveau président. Le scrutin, qui s'annonce serré, est d'ores et déjà historique : ce sera le premier sans Robert Mugabe, renversé en novembre 2017. Mais la campagne a été émaillée d'intimidations et de pressions de la part du pouvoir, et le système hérité de Mugabe est loin de s'être défait.
L’ambassade d’Équateur s’apprête à livrer Julian Assange aux autorités britanniques, si l'on en croit son entourage. Un procès du fondateur de WikiLeaks aux États-Unis, où il pourrait être extradé, créerait un dangereux précédent en matière de liberté de la presse, s'inquiètent plusieurs activistes.
Alors que l’affaire Benalla pose la question de l’impunité au plus haut niveau de l’État, des familles de victimes de violences policières défilaient ce samedi avec leurs soutiens pour demander « justice et vérité ».
Deux ans après la mort d’Adama Traoré dans les locaux de la gendarmerie de Persan (Val-d’Oise), sa famille organise samedi une marche pour exiger la vérité sur les circonstances de sa mort. Plusieurs organisations de gauche ont appelé à y participer. Entretien avec Assa Traoré, sœur du jeune homme et porte-parole du comité Adama.
Après avoir désavoué ses services de renseignement face à Vladimir Poutine, le président américain a fini par reconnaître l’ingérence de la Russie dans la campagne de 2016. Au-delà de cette volte-face, Donald Trump semble préparer l’opinion à la sortie de l’enquête Mueller concernant ses liens avec Moscou.
Le groupe Ford a annoncé début juin le lancement d’un plan social en vue de la fermeture de son usine de Blanquefort, qui emploie 872 salariés – dont l’ancien candidat à la présidentielle Philippe Poutou. Les ouvriers disent leur colère et leur impuissance.
Les salariés du Média affrontent une crise violente. Entre le départ partiel de sa présidente Sophia Chikirou, la démission à venir de Gérard Miller et la fronde d’une partie de la rédaction, la web-télé vacille. Le problème est éditorial, social mais aussi financier, les dépenses étant plus élevées que prévu.
Les policiers et policières de l’association FLAG ! souhaitaient défiler en uniforme à la Marche des fiertés parisienne, samedi 30 juin. Le ministère de l’intérieur ne les y a pas autorisés. Pour ces militants LGBT, la visibilité est un enjeu central.
Un mandat d’arrêt international doit être émis dans les jours à venir contre Christophe Raineteau, mercenaire français accusé de complicité d’actes de terrorisme par les autorités centrafricaines, et qui jure de son innocence. L’histoire de cet « aventurier » est symptomatique du climat de fébrilité qui règne à Bangui.
Responsable de l’exil forcé de l’Aquarius, le ministre italien de l’intérieur Matteo Salvini a également promis de recenser les Roms, d’expulser 500 000 clandestins et de réduire drastiquement les budgets dédiés aux migrants. Des mesures souvent irréalisables mais qui risquent de détruire durablement le système d’accueil italien.
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