Pierre Alonso

Tous ses articles

  • Ukraine : l’adhésion à l’UE se bâtit avec des réformes dictées de l’étranger

    Europe

    La Commission européenne mais aussi les États-Unis, le G7 et le Conseil de l’Europe guident Kyiv dans ses réformes en vue de rejoindre l’UE. Le Conseil européen a décidé jeudi 14 décembre d’ouvrir formellement la procédure des négociations d’adhésion. 

  • L’Ukraine entre dans son deuxième hiver de guerre

    Europe — Reportage

    Après de premières salves de drones sur l’Est et le Sud, Kyiv redoute de nouvelles attaques russes contre les infrastructures énergétiques, frappées plus d’un millier de fois l’hiver dernier. Le secteur de l’énergie s’y prépare en protégeant ses installations.

  • La guerre au front, la vie ailleurs : l’Ukraine tisse des points de suture entre deux réalités déchirées

    Europe — Reportage

    La grande roue de Kyiv continue de tourner, le métro de se remplir et les couples de se marier. Mais plus près du front, c’est la guerre qui dicte le quotidien. Deux vécus que la population, qui a montré son unité depuis l’invasion, s’efforce de ne pas rendre antagonistes.

  • Les athlètes d’Ukraine ne veulent pas affronter de Russes aux JO

    Europe — Reportage

    La participation d’athlètes russes et bélarusses aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris, même sous une bannière neutre, inquiète les sportifs ukrainiens. « On ne veut pas jouer contre eux », résume auprès de Mediapart un joueur de volley assis.

  • La police a utilisé un programme illégal de surveillance téléphonique

    Police — Enquête

    Baptisé “Pergame”, ce programme de géolocalisation a été exploité pendant plus de deux mois, entre fin 2012 et début 2013. Plusieurs centaines de personnes ont été visées et des dizaines d'enquêtes sont aujourd'hui menacées. L’affaire est prise très au sérieux au ministère de la justice, où l'on dénonce « de graves infractions pénales ».

  • Affaire Amesys : torturés sous Kadhafi à cause d'un mail, ils racontent

    Justice — Enquête

    Cinq opposants libyens ont raconté fin juin l'horreur de la détention sous Kadhafi devant des juges parisiens chargés d’une information judiciaire pour « complicité d'actes de torture » visant la société française Amesys. Celle-ci avait vendu fin 2006 à la dictature un redoutable système d’espionnage du Net.