Journaliste à Mediapart.
Sinon, des années à Libération, trois ans aux Inrockuptibles, auteur du «Naufrage de la psychiatrie» et de «Nos chères 35 heures» tous deux publiés chez Albin Michel en 2006 et 2008.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Le documentaire de Marie-Monique Robin a reçu, samedi 27 mars, le prix Olivier-Quemener-Reporters sans frontières du Festival international du grand reportage d'actualité (le Figra) au Touquet. Implacable enquête sur la légalisation par les Etats-Unis de la torture, ce film n'a, à ce jour, été diffusé que sur Mediapart. Et est aujourd'hui invisible.
Valvert, qui sort en salles ce 10 mars, décrit le quotidien d'un hôpital psychiatrique de Marseille un peu particulier. L'institution a fait le pari de l'ouverture et de la libre circulation, loin des logiques d'enfermement qui prévalent aujourd'hui. Le film est superbe, construit tout en retenue sur la parole des soignants et des patients. Entretien vidéo avec sa réalisatrice, Valérie Mréjen.
Un film politique, court mais puissant: porté par 350 cinéastes, On bosse ici! On vit ici! On reste ici!, est un manifeste en faveur de la régularisation des travailleurs sans papiers. Présenté lundi 22 février à la Cinémathèque à Paris, il va être projeté en France dans les salles de cinéma. Mediapart a choisi de le diffuser en retraçant l'histoire de cette grève inédite entamée en avril 2008.
A Haïti où un million de rescapés sont sans abri, le choix de l'habitat d'urgence aura des incidences sur la reconstruction. Si les tentes sont simples à acheminer, des abris en kit seront plus efficaces lors de la prochaine saison des pluies. De retour d'une mission à Haïti, Patrick Coulombel, président d'Architectes de l'urgence, tire les leçons des catastrophes précédentes.
Un petit hameau au bord de la Garonne, à une dizaine de kilomètres de Bordeaux. Pour consolider les berges du fleuve, la mairie de Quinsac penche pour l'enrochement, une solution en dur. Les riverains, réunis en association, ont fait leur contre-expertise. Pour eux, le génie végétal permettra de donner le coup de pouce dont la nature a besoin pour bien faire son travail. Cette bataille autour de 250 mètres de berges illustre la préoccupation environnementale etl'expertise grandissante des citoyens. Reportage et diaporama sonore.
Fin de nos aventures avec Ancco, dessinatrice de manhwa coréens de 26 ans. Son album, Aujourd'hui n'existe pas (ed. Cornélius), dont nous vous avons proposé deux nouvelles sous forme de feuilleton cette semaine, sortira le 15 septembre.
Ancco, jeune dessinatrice coréenne, raconte sa vie dans ses manhwa. Et son amour des chiens. Avant la sortie en septembre de son album, Aujourd'hui n'existe pas (ed. Cornélius), en septembre voici la suite de la deuxième nouvelle.
Suite de la nouvelle de Ancco, jeune dessinatrice de manhwa, l'équivalent en Corée des manga japonais.
Où l'on découvre la grand-mère, endormie par terre. Pourquoi est-elle triste?
Cette bande-dessinée est extraite de Aujourd'hui n'existe pas qui sera publié en septembre par les éditions Cornélius.
Comment peut-on avoir deux mémés? Et pourquoi ne faut-il pas poser de questions?
Suite de la nouvelle tirée de Aujourd'hui n'existe pas et signée Ancco. Ancco est une jeune dessinatrice de manhwa, l'équivalent en Corée des manga japonais, dont nous vous faisons découvrir des extraits de son prochain album toute la semaine sous forme de feuilleton. Aujourd'hui n'existe pas sortira le 15 septembre aux éditions Cornelius.
Ancco est une jeune dessinatrice de manhwa, l'équivalent en Corée des manga japonais. En de courtes bandes-dessinées largement autobiographiques, elle raconte la vie –pas toujours gaie– des jeunes coréens. Avant la sortie en septembre de son album, Aujourd'hui n'existe pas (ed. Cornélius),voici sous forme de feuilleton, deux de ses nouvelles.
«Discret», disent unanimement de lui tous ceux qui aujourd'hui lui rendent hommage. Tellement «discret» que l'engagement du «porteur de valises» Francis Jeanson pour la psychiatrie en est presque oublié. Il ne fut pourtant pas des moindres et son action n'est pas sans rappeler celle de Felix Guattari et Gilles Deleuze à la clinique de La Borde. La discrétion en plus.
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Plus de 90 dossiers reçus cette année, et quatre retenus pour être aidés dans leur finalisation. Ils parleront de la psychiatrie à l'hôpital public, des fractures du Liban, de la vie avec le cancer et d'une histoire de sanglier dans les Cévennes.
Antoine Dubos signe un documentaire étonnant, tourné dans l'école de police de Oissel, en Normandie. Se révèlent ici la vision du monde et de ses dangers qu'intègrent des forces de l'ordre. Quelques séances en salle sont programmées.
La pollution du fleuve Rio Doce au Brésil, des conversations entre détenus et surveillants de prison, la vie abimée d'une rivière et les souvenirs d'anciens pensionnaires d'un centre de redressement en Savoie, sont les thématiques abordées par les films sélectionnés.
Le photographe qui a publié en mars dernier sur Mediapart l'histoire de « Peyo, cheval soignant en soins palliatifs » a reçu vendredi le Visa d'or Magazine lors du festival Visa pour l'Image de Perpignan.
Avec « Le fils de l'épicière, le maire, le village et le monde », la réalisatrice Claire Simon fait, à travers ses habitants, le portrait de Lussas en Ardèche, un village où culture et agriculture se nourrissent mutuellement.