Éclats de sciences

Les neurosciences face à la mort

Depuis que l’arrêt cardiaque ne signe plus à coup sûr notre mort, c’est dans le cerveau que l’on cherche à déterminer une signature précise et définitive du passage de vie à trépas. Sans succès pour l’instant.

Lise Barnéoud

Avant, les choses étaient simples. Quand le cœur s’arrêtait, on était considéré comme mort. Mais voilà, au milieu du siècle dernier, les progrès médicaux ont permis de relancer des cœurs arrêtés. Et depuis, la fin des battements cardiaques n’est plus synonyme de trépas. Les regards se sont alors tournés vers le cerveau et son activité électrique, à la recherche d’un marqueur biologique irrémédiable et irréfutable de la mort. Une quête étrange, pleine de surprises et de rebondissements.

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