Arts Parti pris

La Macronie au monde de la culture : sois subventionné et tais-toi

S’en prendre à la liberté de parole de la culture, ainsi que s’y emploie la ministre Rima Abdul-Malak pour satisfaire son employeur élyséen, c’est menacer un contre-pouvoir essentiel. C’est saper la démocratie au nom de l’autorité. Tel un Druon sous Pompidou.

Antoine Perraud

La ministre de la culture, Rima Abdul-Malak, prétend complaire à son patron : l’Élysée. Et elle voudrait qu’une telle attitude servile – qu’on appelle loyauté en politique – ruisselât davantage. Alors elle donne des gages en donnant des leçons, telle une cheffe régisseuse houspillant les troupes.

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