Des centaines de jardins familiaux et partagés ouvrent leurs portes les 14 et 15 mai à l’occasion des 48 heures de l’agriculture urbaine. Dans un livre foisonnant et subtilement politique, la géographe Flaminia Paddeu montre à quel point la culture vivrière en ville est une bataille pour plus de justice.
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Face au mauvais bilan d’Emmanuel Macron sur l’écologie, un slogan du militant brésilien Chico Mendès, assassiné en 1988, a beaucoup été repris dans les mobilisations pour le climat en France : « L’écologie sans lutte des classes, c’est du jardinage. » Sortie de son contexte politique – la lutte pour les droits des seringueiros, ces ouvriers des plantations d’hévéa en Amazonie, et la préservation de la forêt –, la phrase a pu se charger d’une connotation négative à l’égard des cultures potagères ou récréatives des particuliers.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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