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Maylis de Kerangal, quand la modernité pulse

Elle s’affirme, de livre en livre, comme l’un de ces rares écrivains français qui écrivent la modernité, la technicité transcendée par l’humain. Lyrisme du béton ou de la salle d’opération, passionnants êtres ordinaires : résultat, « Réparer les vivants » est un livre qu'on lit comme un thriller, dont on se souvient comme d’un poème. Entretien et extrait en fin d'article.

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Dominique Conil et Sophie Dufau

Un sujet ne fait pas un livre, on ne le vérifie que trop souvent. Tant justement, en littérature, ce qui le déborde est ce qui demeure. Mais en parlant de Maylis de Kerangal, et d’une œuvre en construction d’une telle force et d’une telle cohérence, on y pense quand même. Car l’écrivain visite précisément ce qui, pour tant d’auteurs, relèverait du « non sujet », sauf à le pimenter de romanesque ou d’égotisme.

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