Culture et idées

Daniel Buren et ses clichés couleurs

Daniel Buren est au Grand Palais, à l'occasion de l'exposition Monumenta. Il travaille la luminosité aérienne de cette architecture d'acier de verre à travers une forêt de nénuphars plastique colorés et de miroirs renversants. Joli mais pas toujours surprenant : Buren donne-t-il encore à voir et à ressentir ?

Hugo Vitrani

Sur le toit du Grand Palais, un drapeau blanc frappé d'un cercle et des rayures bleus de Daniel Buren a remplacé celui bleu-blanc-rouge de la France. Entre les murs, son œuvre, Excentrique(s), colore l'atmosphère. La lumière est filtrée par un plafond en forêt de nénuphars plastique bleu-rouge-vert-jaune, des miroirs provoquent des puissants vertiges. Visite guidée en vidéo de cette expérience chromatique avec Daniel Buren et Marc Sanchez, directeur de la production artistique du Centre national des arts plastiques (CNAP) pour Monumenta.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter