Hugo Vitrani

Ses Derniers articles
-
L'art dans la peau
Piqué à vif dans la peau, le tatouage s'installe au musée du Quai Branly. À l'ère de sa démocratisation, l'exposition "Tatoueurs, Tatoués" se veut un manifeste engagé contre la marchandisation et les récupérations de cette culture née dans les marges. Focus sur les réussites, échecs et exclus de cette importante rétrospective.
-
Swoon, courant alternatif
Swimming Cities of serenissima (2009) © Swoon
Avec ses installations, ses collages de portraits gravés et découpés façon dentelle sociale, Swoon renouvelle depuis une dizaine d'années les arts urbains. Retour en vidéo sur le parcours engagé de cette artiste pirate exposée à Paris et prochainement au Brooklyn Museum (NYC).
-
Ryan McGinley, sans dessus ni dessous
Susannah Swampsticks, 2013 © Ryan McGinley - Galerie Perrotin
Réputation taillée dans l'underground new-yorkais des années 1990, Ryan McGinley s'est imposé dans la photographie contemporaine avec ses mises en scène dynamiques aux teintes puissantes et joyeuses d'une jeunesse borderline qui veut en découdre. Entretien et diaporama inédit.
-
Space Invader hacke l'espace
Enfant du numérique, des virus et de l'art urbain, Invader et ses pixels s'infiltrent depuis 15 ans dans l'espace public. Rencontre avec cet extra terrien toujours anonyme.
-
Art 4 Space, un extrait exclusif
La Terre est trop étroite, l'artiste a donc envoyé son héros dans l'espace pour en faire un film, Art 4 Space, projeté lundi 7 octobre à Paris. Découvrez en avant-première un extrait.
-
Ryan McGinness, l'empire des signes
Aesthetic Comfort, installation au Cincinnati Art Museum (2008) © Ryan McGinness
Peintures vectorielles sérigraphiées, saturation d'icones graphiques, pureté des formes, expositions dans des clubs de strip tease, produits dérivés : Ryan McGinness, enfant du Do It Yourself des cultures skate et surf, défend sa vision d'un art populaire, complexe et prestigieux à l'ère de la communication de masse et du numérique. Entretien vidéo.
-
José Parlá, plaies et traces picturales
© José Parlá
Saturation de langages et d'écritures cryptées et métissées, matière urbaine détériorée, politique, traces, spectres, absence : José Parla prolonge en peinture les mots et les maux qui lacèrent les murs des rues, cherchant « du sens dans les ruines des villes », de Miami à NYC en passant par Cuba. Quatrième volet d'une série de reportages vidéo sur les artistes et NYC.
-
Earsnot, le dernier “sans-culotte”
Earsnot peignant un mur à Miami © Martha Cooper
Graffiti, défonce, vols et partouze bi : le groupe Irak – “Je vole” en slang – a imposé sa vision sulfureuse d'un graffiti anti-société, et ravivé dans la scène underground new-yorkaise les shoots et le sexe des années beatnik. Rencontre avec son fondateur, Earsnot (Kunle Martins)... en slip. Troisième volet d'une série de reportages vidéo sur les artistes et NYC.
-
Michael DeLucia, sculpteur du virtuel
Précarité, ruine de la matière, virtuel désormais réel, chaos géométrique : Michael DeLucia interroge l'avenir de la sculpture à l'ère du numérique. Des sculptures post-industrielles qui naissent entre le désordre de la rue, de la nature et l'ordre des machines. Deuxième volet d'une série de reportages vidéo sur les artistes et NYC.