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Elias Sanbar: «Les Palestiniens ne sont pas des mythes»

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À l'occasion de la publication de son Dictionnaire amoureux de la Palestine, Elias Sanbar, ambassadeur auprès de l'Unesco d'une terre qui fait parfois souci plus que de raison, brosse un paysage mental et politique de la Palestine. Entretien texte et vidéos.

Antoine Perraud

en 1947 dans la ville de Haïfa, à flanc du mont Carmel, dans une famille chrétienne de rite melkite et donc fidèle à Rome, Elias Sanbar se retrouve au Liban suite à la guerre puis aux déplacements de populations ayant accompagné la création de l'État d'Israël en 1948. Engagé très tôt dans les luttes pour la cause palestinienne, il vient étudier, à la fin des années 1960, à Paris, où il enseignera, écrira (lire l'onglet «Prolonger»), traduira, en particulier son ami le poète Mahmoud Darwich (1941-2008); Paris où il fondera et dirigera, de 1981 à 2008, la Revue d'études palestiniennes.

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