Vita Sackville-West : « Nous sommes incapables d’apprendre »
Et si, en 1942, l’Allemagne nazie, vainqueur sur l’Europe, avait signé un traité de paix avec les États-Unis, obligeant des Européens à migrer vers le pays de l’Oncle Sam ? C’est ce qu’imagine Vita Sackville-West, dans son roman « Grand Canyon », traduit pour la première fois en français, 80 ans après la publication originale.
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1942, déjà deux ans après l’appel du 18 juin de De Gaulle, la Seconde Guerre mondiale est à son paroxysme, Londres tente de surmonter le Blitz survenu un an plus tôt, et, comme nous le rappelle Gaëlle Josse dans sa préface, les États-Unis viennent tout juste de rentrer en guerre, c’est le début de la bataille de Stalingrad et l’année de la rafle du Vél’ d’Hiv. C’est dans ce contexte dramatique que Vita Sackville-West (1892-1962), autrice et poétesse à succès de son vivant, plante le décor de son roman, Grand Canyon, publié en 1942, traduit pour la première fois aujourd’hui par les éditions Autrement.
Retour sur une étrange soirée en marge du sommet de l’Otan à Madrid, où les dirigeants, après avoir annoncé des milliards de dollars pour renforcer leur présence militaire sur le continent, se sont mis à contempler les « Ménines » de Velázquez au musée du Prado.
Un accord a été conclu jeudi entre le gouvernement et les responsables autochtones, à l’issue d’une longue grève générale, pour réclamer de meilleures conditions de vie. Dans la capitale Quito, la « Casa de la Cultura » (Maison de la culture) a été un endroit clef du mouvement.
De nombreux témoignages et des documents obtenus par Mediapart montrent ce qui est proposé par ce prestigieux établissement catholique. Une quinzaine d'anciens élèves racontent les « humiliations » et les « souffrances » vécues.
La mort d’un bébé survenue la semaine dernière à Lyon a provoqué la stupéfaction. Mais depuis de longs mois, les conditions d’accueil en crèche se dégradent. Et des professionnels, des experts ou représentants du secteur tirent la sonnette d’alarme. Témoignages.
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