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Sarah Haidar: «La littérature doit désarçonner»

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Rencontre avec une écrivaine algérienne, libertaire, féministe, kabyle, séditieuse et lyrique : Sarah Haidar. La Morsure du coquelicot, son roman à couper le souffle, chamboule toutes les idées reçues. Une prose stylistiquement galvanisante...

Antoine Perraud et Faïza Zerouala

Mediapart n’est pas peu fier de présenter l’une de ces pépites littéraires dont le Maghreb en général et l’Algérie en particulier ont le secret : Sarah Haidar. La Morsure du coquelicot (Éd. Métagraphes), roman d’anticipation de cette trentenaire anarchisante, solde tous les comptes possibles avec la stratocratie d’Alger, prête à n’importe quoi pour garder le pouvoir auquel elle se cramponne depuis 1962 : faire régner la confusion, la corruption, la consternation, quitte à nourrir le terrorisme qu’il lui faudra ensuite éradiquer.

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