Ces pesticides qui pourraient disparaître du marché

IlsIls sont autorisés depuis des années et sont utilisés en masse dans l’agriculture française. Mais cet usage repose sur des évaluations qui ne tiennent pas compte de l’état actuel des connaissances scientifiques. Le 3 septembre, la cour administrative d’appel de Paris a dit stop : ces pesticides doivent être examinés à l’aune des résultats les plus récents de la recherche et l’Anses doit actualiser ses méthodes d’évaluation. Au total, ce sont 2 820 produits qui pourraient être ainsi réexaminés par l’agence. Et celle-ci a deux ans pour le faire.