Énergies

Les opéras face à leur transition énergétique

Un patrimoine ancien mal isolé, de grands volumes à éclairer et à chauffer, des décors à transporter : le bilan carbone des opéras est lourd, et les moyens de l’alléger complexes. Illustrations à Rennes, Paris et Bruxelles.

Éloïse Duval (La Lettre du Musicien)

Avec quatre bâtiments, 185 000 mètres carrés à éclairer et chauffer, 400 levers de rideaux par an et la consommation électrique d’une ville de 10 000 habitant·es, la sobriété énergétique a de quoi apeurer l’Opéra de Paris. Pourtant, la structure nationale participe cette année au « championnat de France des économies d’énergie ». Un concours porté par la société A4MT, qui essaie de donner un aspect ludico-pédagogique à la sobriété, pour inciter les entreprises publiques et privées à enfin faire leur transition écologique.

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