Travail

Vétusté, sécurité, risques sanitaires : les défis de l’inspection du travail en prison

Depuis janvier, les détenus exerçant une activité en prison peuvent contacter en toute confidentialité l’inspection du travail, désormais autorisée à mener des contrôles inopinés. Des avancées nécessaires dans le milieu carcéral où les conditions de travail sont parfois dangereuses.

Sarah Bosquet

Emballage de parfums ou de prospectus, pose d’antivols, préparation de repas… Dans les six cents ateliers que comptent les établissements pénitentiaires français comme au sein du service général – les emplois liés au fonctionnement d’une prison –, les activités professionnelles des détenu·es relèvent d’un régime spécifique et leur rémunération atteint, au mieux, 45 % du smic horaire.

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