Économie et social

Grèce: les banques se sauvent, le désastre est toujours là

La restructuration de la dette grecque a été acceptée par les créanciers privés. Mais ce réaménagement n’apporte aucun soulagement. L'endettement de la Grèce ne sera diminué dans l’instant que de 2 % du PIB ( de 161 % à 159 % ). La restructuration annoncée masque en fait un nouveau transfert des créances privées vers le public.

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Le soulagement est à la hauteur des craintes passées : 85,5 % des créanciers privés ont accepté jeudi soir de participer à la restructuration de la dette grecque. Dès vendredi matin, le ministre des finances, François Baroin, s’est félicité de ce « grand succès pour la Grèce, pour l’Europe ».

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