En 2014, Uber était déjà un « bad boy » du monde de l’entreprise
Quand Macron a noué un partenariat avec la start-up californienne, comme l’ont dévoilé les « Uber Files », la plateforme fondée par Travis Kalanick était opérationnelle aux États-Unis depuis quatre ans, et en France depuis deux ans. Sa réputation et ses méthodes étaient déjà l’objet de vives critiques.
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Un beau symbole, peut-être. Mais aussi bien plus qu’un symbole : une entreprise aux pratiques prédatrices depuis l’origine. Quand Emmanuel Macron noue, à l’automne 2014, le partenariat secret avec Uber tel qu’il a été dévoilé par les médias du consortium ICIJ dans les « Uber Files », la plateforme numérique pilote déjà des dizaines de milliers de chauffeurs dans le monde. Et ses pratiques les plus critiquables commencent à être connues, avant de devenir évidentes en 2016-2017, au plus fort de ses relations avec le ministre de l’économie.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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