A la gare du Nord, le «noyau dur» des grévistes muscle la mobilisation

En assemblée générale, les militants syndicaux de la gare du Nord ont sauté le pas de la grève reconductible. Pour se faire entendre face à Emmanuel Macron, sûr de son fait. Mais aussi pour tenter d'agréger les foyers de contestation, alors qu'ils s'interrogent sur la solidité de l'union syndicale.

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« La grève est reconduite jusqu’à lundi ! » Monique Dabat, déléguée syndicale Sud Rail de la gare du Nord à Paris, infatigable organisatrice des grèves dans la gare parisienne (et récente invitée d’un Mediapart Live), a le sourire aux lèvres lorsqu’elle donne le résultat du vote en assemblée générale, ce vendredi 13 avril à la mi-journée. Pour la première fois depuis le 3 avril et le lancement de la grève « en pointillé » à la SNCF, des cheminots de Sud, de la CGT et de FO, venus de plusieurs secteurs de l’entreprise, vont poursuivre le mouvement au-delà des deux jours de mobilisation sur cinq.

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