Les superprofiteurs de la crise sont aussi des superpollueurs
Dans la finance, l’énergie, le transport ou l’industrie, on remarque que les grands groupes qui ont réalisé les plus gros profits ces derniers mois se retrouvent parmi les plus gros pollueurs. Une raison de plus pour ne pas dissocier enjeux économique et écologique.
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IlIl n’y aura pas de transition écologique sans changement profond du système économique. Car en l’état actuel des choses, les activités les plus profitables sont souvent celles qui ont l’impact le plus néfaste sur le climat. Il n’y a qu’à suivre l’actualité pour s’en convaincre : les grands groupes qui ont réalisé les plus importants « superprofits » ces derniers mois grâce à la hausse des prix de l’énergie, des matières premières et de certains métaux sont ceux qui polluent le plus ! La preuve dans quatre domaines de l’économie.